Le sol, avec les différentes variations climatiques et le mouvement des plaques tectoniques, subit des modifications entravant les constructions humaines. Soucieux du devenir de la population, en 2018, l’Etat a mis en place au travers de la loi Elan, une norme à laquelle tout le monde doit se conformer. Elle stipule, pour tous les terrains, une étude devant alerter le constructeur et le propriétaire sur les travaux à faire en cas d’anomalies observées.
Le moment propice pour réaliser l’étude
Parce qu’elle est utile pour la protection des biens et des personnes, l’étude peut être réalisée selon deux situations. Sur le premier angle, si le sol ne se trouve pas dans une zone déclarée argileuse, l’acquéreur, après avoir finalisé son achat, peut demander la réalisation de cette étude. Cette dernière permettra de déterminer le type de travaux à faire afin d’éviter les mauvaises surprises. Si au contraire, le terrain figure dans cette zone à risque, le vendeur doit en amont effectuer l’étude et une fois la vente finalisée, l’acheteur doit également la faire pour faciliter le travail du maitre d’ouvrage. Avec des solutions à la pointe de la technologie, rendez-vous sur le site du constructeur Habitbois pour plus d’infos.
L’étude proprement dite
L’étude se fait en deux étapes. La première est documentaire. Elle se fait en comparant les données qui ressortent des plans de maisons, du plan de masse et de la carte géologique de la région. Apres avoir étudié théoriquement la zone habitable, le géotechnicien se rendra sur le terrain concerné pour une campagne de sondage par carottage. Ce travail permet de déterminer avec exactitude la nature, le type et les caractéristiques du sol sur lequel vous devriez monter votre projet immobilier. A la suite de cela, l’architecte pourra adapter dans la construction de votre fondation, des matériaux et techniques utiles pour lutter contre les fissures, les remontées d’eau et les lézardes.
